L’ancien défenseur et capitaine des Eperviers du Togo, Nibombé Daré s’est confié à l’Association des journalistes sportifs du Togo (AJST), vendredi 22 mai 2020. Le mondialiste de 2006, passé l’Asko de Kara, l’AS Douanes devenu l’OTR, le Liberty Professionnal au Ghana, Le Mons et Royal Albert en Belgique etc., se dit disponible pour l’équipe nationale et n’est pas contre l’idée de l’entraîner un jour.
« Je reste disponible. Je pense qu’on reviendra là-dessus très prochainement pour voir en quoi je peux contribuer et transmettre mes connaissances, mes savoirs, pour les mettre à la disposition de la jeunesse et de la nation togolaise. Je ferai le temps qu’il faut, si besoin y est, pourquoi pas. Cela reste des projets entre parenthèses et à la fin de mon cursus de formation, je peux toutefois aider dans un domaine ou un autre pour faire évoluer le football dans mon pays », relaie L’Equipe sportive dans sa parution n°315 du 26 mai 2020.
« J’apprends vite et le transmets sur le terrain »
L’ex international togolais a soutenu sa décision de devenir entraîneur : « J’aime guider mes coéquipiers, je parle beaucoup quand je joue, je sers beaucoup de relais sur le terrain, et plusieurs entraineurs m’ont dit que ce serait une bonne chose parce que j’apprends vite et le transmets sur le terrain. Et donc, j’ai pris du temps pour observer le milieu avant de me lancer. Je pense que la suite va me donner raison. Je suis sur une bonne voie, je découvre et apprends beaucoup de choses, je ne suis pas pressé. Je vais aller au bout de mon cursus et après je viendrai sur le terrain pour plus d’expérience et le reste suivra ».
L’équipe nationale en ligne de mire
« Je ne veux pas ressembler à un entraîneur mais je veux m’inspirer de ce que fait un entraîneur et l’adapter à ma personne pour pouvoir coacher ». Il va de soi que l’ex dossard 2 de l’équipe nationale a été interrogé sur la possibilité ou non d’entraîner à l’avenir les Eperviers du Togo : « Prendre une équipe nationale, ce n’est pas une petite affaire. Toutefois, pourquoi pas si le besoin y est. Je ne ferai que rendre service à mon pays. Cela reste une ambition ».
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