200 000 doses du vaccin SINOVAC réceptionnées ce vendredi à Lomé

 

 

 

Un lot de deux-cent milles (200.000) doses de vaccin SINOVAC et 210.600 seringues réceptionnées ce vendredi 23 avril 2021, à l’Aéroport International GNASSINGBE Eyadéma à Lomé, par les autorités togolaises.

 

 

 

Lancée le 10 mars 2021, la campagne de vaccination contre la pandémie au coronavirus (COVID-19) se poursuit actuellement. Et dans le cadre de cette campagne de vaccination, le Togo « réceptionne ce vendredi 23 avril 2021, à l’aéroport International GNASSINGBE EYADEMA, un lot de deux-cent milles (200.000) doses de vaccin SINOVAC ». Le lot réceptionné par le Ministre en charge de la Santé, Prof. Moustafa MIJIYAWA, en présence du Coordonnateur du Comité de riposte anti-COVID-19, le Col-médecin Mohaman Djibril…

Ce lot, précisé le gouvernement, « correspond à 100.000 personnes à vacciner à raison de deux (02) doses par personne ».

 

 

 

 

Selon les informations, SINOVAC est un vaccin simple, avec de rares effets secondaires qui vient ainsi s’ajouter aux lots déjà acquis par le Togo et en cours d’utilisation pour la campagne de vaccination qui couvre depuis le 21 avril dernier, toute l’étendue du territoire national.

« Les vaccins anti-Covid-19 SINOVAC ont démontré leur sûreté et leur bonne efficacité contre le Covid-19 surtout lorsque le malade présente des symptômes », rassure-t-on.

 

 

 

Le vaccin anti-COVID-19 SINOVAC réceptionné ce vendredi, se fait donc deux temps (02 doses) à savoir, une première injection intramusculaire dans le bras, suivi d’une seconde après.

 

 

 

Saisissant l’occasion, le gouvernement a une fois encore, invité la population à se faire vacciner pour se protéger contre les formes graves de la maladie (réduire la mortalité), pour protéger les autres personnes vulnérables et patients hospitalisés, briser la chaîne de transmission du virus et participer, chacun en ce qui le concerne, à l’atteinte de l’immunité collective avec au moins 60% de la population vaccinée et surtout participer à réduire le nombre d’hospitalisations et à maintenir le bon fonctionnement des services de santé.