L’information nous est parvenue hier qu’une centaine de munitions auraient été dérobées au camp du 1er Bataillon d’intervention rapide (BIR). Il nous revient qu’alors que le préposé à la surveillance des munitions était absent pour une vingtaine de minutes, des cartouches pleines auraient été remplacées par d’autres, vides.
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Le SCRIC (Service central de recherches et d’informations criminelles) informé, serait sur l’enquête pour déterminer le ou les auteurs du forfait. 100 munitions, ce peut être suffisant aux réseaux de braqueurs pour opérer et terroriser les populations.
Contacté, le service de communication de l’état-major général des armées nous assurés que tout est sous contrôle et qu’il n’y a pas le feu. Comprenne qui pourra !
Godson K.