Accompagnée de juges et géomètres, Dame KETZLER est allé créer la terreur et imposer sa suprématie dans le quartier Bè-Kpota Atchatimé. Il s’agit d’une affaire d’expropriation abusive de terrain. Les victimes appellent le Chefs de l’Etat au secours.
Dame KETZLER et un groupe d’avocats, juges et géomètres véreux sèment la terreur à Bè-Kpota Atchatimé, rapporte nos confrères de républicain.info.
Le quartier bè kpota Atchatime derrière l’Église Catholique Maria et Goretti vit un phénomène inédit d’expropriation abusive de terrains et de maisons depuis le début du mois de décembre.
Il s’agit d’un réseau composé de juges, avocats et géomètres dont nous taisons les noms pour le moment, avec à leur tête une dame de la famille KETZLER d’origine Allemande qui terrorisent les populations de ce quartier. Dame KETZLER se réclame la vraie propriétaire de 67 parcelles acquises et déjà habitées par des gens depuis 1973. Ce sont des terrains payés chez la collectivité HOTONOU originaire de Bè.
Ces parcelles occupent une superficie allant de l’Église Catholique MARIA GORETTI, allant vers EPP ATCHATIME, débouchant sur la route ANYIGBAN DJEZO au Bar Au Charlet.
Dame KETZLER réclame le titre de propriété de 67 bonnes maisons.
Pour semer la désolation et la terreur au sein des populations, ces individus qui se réclament proches de la présidence togolaise, ont débarqué le 10 décembre 2020 dernier dans le quartier, ils ont envahi tout le quartier avec les forces de l’ordre, avec d’autres jeunes armés de gourdins, et ont réussi à dégager les habitants de deux maisons sous le coup d’une violence incroyable alors que selon nos informations, un dernier procès sur le même dossier aura lieu le 30 décembre 2020.
Depuis ce sont des agents de sécurité munis de gros CHIENS BERGER qui sillonnent tout le quartier la nuit en vue de préserver ces deux maisons supposées acquises par les bourreaux.
C’est la terreur ici à Bè kpota Atchatimé.
Face à cette situation, la population très indignée et lance des cris de détresse au President FAURE GNASSINGBÉ, et aux autorités compétentes d’intervenir le plus tôt possible pour remettre les populations dans leur droit.