Route Lomé-Kpalimé : voici pourquoi EBOMAF a eu le marché

Aussitôt l’appel d’offre de la réhabilitation de la route Lomé-Kpalimé arraché, EBOMAF se met à l’œuvre. Cette entreprise BTP affiche du sérieux dès le début des travaux. De quoi  rassurer les populations qui sont impatientes de voir ce tronçon réhabiliter dans de meilleurs délais. Cette lancée crée de l’admiration et de l’assurance chez les populations de la capitale qui saluent le dynamisme du chantier.

Le Groupe EBOMAF n’a pas entendu le lancement officiel des travaux de réhabilitation de la route Lomé-Kpalimé pour commencer le chantier. Nuit et jour les ouvriers de cette entreprise burkinabé sont à l’œuvre sur le chantier. Cette abnégation ne peut que rassurer les togolais qui étaient encore dubitatifs lorsque ces travaux lui ont été confiés.

 

Route complètement dégagée du carrefour Todman jusqu’à Sanguera, l’élargissement du bassin de rétention d’eau d’Adidogomé en cours, l’installation des dispositifs de canalisation d’eau est entreprise. Bref l’entreprise met en place tous les préalables pour commencer le bitumage effectif de cette route. L’on aperçoit à de différents endroits le long de la voie, des équipes d’ouvriers faisant de différents travaux.

 

 

La réhabilitation de ce tronçon long de 128 km va d’une part coûter cher à l’État sinon aux contribuables togolais et d’autre part bouleverser les activités économiques qui se déroulaient certes le long de cette route. Donc il s’avère indispensable que les travaux soient exécutés avec du sérieux et dans les meilleurs délais. Les travaux qui devraient durer 36 mois, sont estimés à un coût global de 214 milliards FCFA.

 

Aussi faut-il le rappeler, EBOMAF n’est pas à son premier essai au Togo. Ce géant ouest-africain des BTP, a déjà gagné plusieurs marchés par le passé au Togo. Cependant ses travaux n’étaient pas exemptés de critiques acerbes. Le souhait surtout des usagers de cette voie qui ont longtemps souffert du mauvais état de cette route, est de voir EBOMAF livrer la nouvelle route bien faite dans les meilleurs délais. Oui c’est possible si cette ardeur du début continue jusqu’à la fin des travaux.

Pour l’heure la satisfaction est unanime chez les observateurs qui sont impatients de voir les travaux s’achever le plus tôt possible.