William Téteh demande pardon à Agbéyomé

Le week-end du 11 et 12 avril 2020 restera inoubliable pour l’Apôtre William TETEH. Une vidéo portant la voix et le nom de l’homme de Dieu a circulé sur les réseaux sociaux le samedi 11 avril 2020 disant que l’Apôtre appelle le Président Faure Gnassingbé à laisser le pouvoir à Agbéyomé Kodjo.

 

 

 

Après avoir été menacé par l’une des autorités togolaises, selon lui, William TETEH s’est prononcé le 12 avril sur une Radio de la place pour démentir tout ce qui a été dit dans ladite vidéo afin de prouver son innocence.

 

 

Dans le but de se défendre, l’artiste de la chanson gospel a tenu des propos indignes contre l’ancien Premier ministre Gabriel Messan Agbéyomé Kodjo. Mais, très vite dans cette semaine, le Pasteur s’est rendu compte de ses erreurs.

 

 

«Je ne sais pas celui qui a fait la vidéo. Mais mon nom figure en bas de cette vidéo. Les autorités m’ont appelé et m’ont questionné à ce propos. La peur et la frustration qui m’ont animé, m’ont amené à tenir certains propos sur la Radio Bonne Nouvelle au lendemain de l’appel des autorités. Puisque les photos qui figurent sur la vidéo sont celles du Président Faure et d’Agbeyomé. Je ne veux pas de mal à qui que ce soit.

 

 

Je ne veux pas qu’on me fasse du mal pour quelque chose que je n’ai pas fait, raison pour laquelle j’ai tenu certains propos pour offenser M. Agbeyomé Kodjo et ses amis. Ce n’était pas mon intention que ces paroles sortent de moi.

 

 

Mais tout ce que je dois faire pour que mon nom disparaisse dans les mains du gouvernement togolais pour qu’il ne me fasse pas du mal… ce n’est pas qu’Agbéyomé est mon ennemi», explique William TETEH avant d’adresser ses mots d’excuse. «Si j’ai tenu des propos malsains contre Agbéyomé, je demande pardon. Si j’ai dit quelque chose de mal contre Faure, je demande également pardon.

 

Agbeyomé n’est pas mon ennemi, les propos que j’ai tenus soit disant qu’il voulait me fesser ne sont que des propos de frustration pour que je puisse sortir de la main des autorités togolaises».

 

Tingo Tingo No 898