Le quotidien Liberté ne digère pas la sentence prononcée contre lui dans l’affaire du jeune tué par balle sur la route de Tabligbo. Le confrère compte faire appel de la décision de justice rendue en première instance.
3 mois de suspension de parution et 12 millions F CFA d’amende. Voilà le jugement rendu par le Tribunal de première instance de première classe de Lomé à l’encontre du journal Liberté dans l’affaire l’opposant à dame Victoire Tomégah-Dogbé, cheffe du gouvernement togolais.
Pour le journal Liberté, cette condamnation relève tout simplement d’une « revanche », d’un « règlement de compte », d’une « remontada » qui ne dit pas son nom. Le confrère dit qu’il ne va pas trembler devant cette cabale, cette tentative de musellement. Il compte interjeter appel.
Rappelons que le journal a été condamné pour avoir publié le mercredi 21 septembre dernier, dans sa parution N°3702, un article intitulé : « Primature : Un homme abattu lors du passage du convoi de Victoire Tomégah-Dogbé ». Par ailleurs, il y a une autre procédure qui a été introduite à la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) pour les mêmes raisons liées à la parution de l’article.
Avec Icilome