Focus sur le bilan santé de Faure Gnassingbé, un an après sa réélection

 

 

 

Le 22 février 2020, à l’issue d’une élection présidentielle très attendue, les Togolais ont accordé pour la quatrième fois leur voix à Faure Gnassingbé, un leader avisé qui leur inspire courage, confiance, espoir et symbolise un lendemain meilleur. Le taux de suffrages obtenus (plus de 70%) par le chef de l’Etat est démonstratif. En retour, le président, lui dont les actions succèdent toujours aux promesses, a garanti au peuple de faire en sorte que personne ne soit laissé sur le bas-côté, ni contraint d’être esseulé. Avec la crise sanitaire apparue soudainement, il était indispensable de joindre immédiatement l’acte à la parole avec des réalisations sanitaires opportunes et salvatrices.

 

 

 

LIRE AUSSI : Faure Gnassingbé remercie les électeurs pour sa réélection !

 

 

Le premier cas de coronavirus a été détecté le 06 mars 2020 au Togo. 10 jours après, le pays a instauré un état d’urgence sanitaire et un couvre-feu ; réuni 5 000 hommes dans une Force spéciale anti-pandémie ; interdit les rassemblements ; suspendu les liaisons aériennes et terrestres ; bouclé les villes ; fermé les lieux de culte, établissements scolaires et universitaires, etc.

 

 

Réhabilitation des infrastructures sanitaires

L’apparition de la maladie a aiguillonné le Togo à faire des enjambées dans le processus de modernisation et d’équipement des centres de santé. Le chef de l’État a fait installer des scanners et respirateurs ; fabriquer des millions de masques et de thermo flashs ; réceptionner des équipements de protection. Le CHR de Lomé-Commune, principal centre de prise en charge des patients a été réhabilité, aménagé et équipé avec des centaines de lits. Actuellement, des travaux de construction de 09 centres de santé sont en cours dans les 05 régions nationales.

 

 

Réduire dans la mesure du possible les effets pervers de la crise

Faure Gnassingbé a mis en place un comité de crise et s’est mis à l’avant-poste de la lutte. Avec ses collaborateurs, il scrute l’évolution de la pandémie, les difficultés rencontrées et les solutions idoines pour endiguer la maladie grâce à des mesures d’anticipation, de réplique et de relance économique. Justement, un fonds de relance économique et de solidarité nationale de 400 milliards de francs CFA a été mis en place pour amenuiser l’impact négatif de la crise sur les citoyens. Il a permis de mettre en œuvre le programme de transferts monétaires “Novissi”, de baisser le prix des produits pétroliers, de rendre gratuites l’eau et l’électricité pour les tranches sociales…

 

 

 

LIRE AUSSI : Quand « Novissi » aggrave les risques de contamination au coronavirus

 

 

 

 

 

 

Plus de 100 milliards de francs CFA déjà dépensés

Sur les 400 milliards cités ci-avant, 173 milliards de francs CFA ont été mobilisés à la date du 15 décembre 2020. A cette même date, les dépenses effectuées dans la lutte contre la pandémie s’élevaient à 107,5 milliards. En réalité, 22,8 milliards ont été consacrés aux mesures de riposte sanitaire ; 32,3 autres milliards aux dépenses sociales et 52,3 milliards pour la relance économique.

 

 

 

 

Gratuité des soins pour les femmes enceintes

La covid-19 n’empêche pas le leader togolais de tendre la main aux femmes enceintes. Le pays a annoncé un programme de gratuité des soins (évalué à 07 milliards de francs CFA pour 2021) pour les femmes enceintes. Celui-ci touche la planification familiale, la consultation prénatale, l’accouchement et la césarienne. Déjà, au Centre médico-social (CMS) d’Adabaweré dans la préfecture de la Kozah, plus de 380 femmes enceintes ont été enrôlées du 20 décembre 2020 au 30 janvier 2021. Elles seront soignées entièrement aux frais de l’État.

 

 

LIRE AUSSI  : La gratuité des soins pour les femmes enceintes enfin effective au Togo ?

 

Prise en charge gratuite pour les écoliers

School Assur est un programme de protection sociale en milieu scolaire. En 03 ans de mise en œuvre, il a atteint 02 millions de prises en charge sanitaires gratuites dans plus de 6 000 établissements scolaires publiques. Durant l’année 2020, dans un environnement malsain, Faure Gnassingbé a fait maintenir la mise en œuvre du programme pour empêcher la covid-19 de titiller les élèves. Au titre de l’année scolaire 2020-2021, l’achat des masques a été subventionné par l’État avec 01 milliard de francs CFA. 600 millions ont été mobilisés pour acquérir des équipements comme des tables-bancs et des matériels informatiques. La mise en œuvre de toutes les mesures prises pour l’année en cours, coûte 3,5 milliards de francs CFA aux dirigeants.

 

 

 

 

 LIRE AUSSI : Ce que la rentrée scolaire 2020-2021 a réellement couté au Gouvernement

 

Une gestion sanitaire irréprochable

Les indicateurs montrent que le Togo fait partie des meilleurs pays dont la gestion est efficace et adaptée aux défis de l’heure. Comme mis en lumière par Lowy Institute, en matière de bonne gestion de la pandémie, le Togo est le 2ème meilleur pays en Afrique avec un score de 72,8 points. Sur le plan mondial, il se classe 15ème. Après l’apparition du premier cas de covid-19 sur le territoire, le Togo a augmenté sa capacité de test avec le dépistage systématique des cas contacts et de tous les clusters. Le pays a effectué 204 937 tests à la date du 29 janvier 2021, soit 26,64 tests pour 1 000 habitants.

 

 

Main tendue aux opérateurs économiques

Le Togo a barricadé la voie à la maladie grâce à une batterie de mesures économiques idéales. En dehors de “Novissi”, programme de soutien mensuel de 12 500 francs pour les femmes et 10 500 pour les hommes, le président a pris des dispositions particulières comme la politique d’allègement des charges fiscales, le fonds de relance en faveur des TPME. Depuis le 1er avril 2020, le montant des échéances de crédits reportées pour aider les entreprises est de 18 milliards. Aujourd’hui, la campagne de vaccination anti-covid n’est plus qu’une question de jours au Togo, pays qui a su sortir les griffes pour défier sans crainte la pandémie. Le président de la République a retroussé ses manches pour y parvenir, il a réadapté les priorités qui convergent tout de même vers un seul leitmotiv : le développement national.

 

 

 

Afrique-news