La Banque Mondiale a lancé ses Journées Portes Ouvertes (JPO) ce jeudi 23 juin 2022, afin de permettre au grand public de venir à la découverte des principaux projets financés par la Banque, ainsi que d’autres activités menées ces dernières années, et ses perspectives d’avenir au Togo. les JPO prendront fin ce 24 Juin 2022.
Officiellement lancées en présence du Premier ministre, Victoire Tomegah Dogbe, ces journées portes ouvertes, ont également connu la présence de nombreux membres du gouvernement et d’acteurs du secteur public et privé, sans oublier le Top management de la Banque mondiale au Togo. Plus précisément de la Directrice des opérations, Coralie Gevers, Directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Togo, le Bénin, la Côte d’Ivoire et la Guinée, de Hawa Cissé Wagué, représentante résidente de la Banque mondiale au Togo, et de Christopher Balliet Bleziri, représentant résident de la SFI (Société financière internationale).
C’est l’occasion pour le public de découvrir les différents projets et programmes financés par la Banque Mondiale et la Société Financière Internationale (IFC) au Togo.
Pour Christopher Balliet Bleziri, Responsable Pays Togo de la Société Financière Internationale (IFC), « L’initiative vise à parler de la performance du groupe au Togo sur la période définie (2017-2022). Nous sommes totalement fiers d’afficher sur cette période des niveaux d’investissement et que nous avons un portefeuille qui avoisine 265 millions de dollars sur un volume de financement et un financement cumulé vis-à-vis des PME à travers les moyens commerciaux tournant autour de 50 millions de dollars »
Ces journées portes ouvertes s’annoncent donc dans un contexte de forte progression du portefeuille de la Banque mondiale au Togo, passant notamment de 236,8 millions $ en 2018 à 917,5 millions $ aujourd’hui.
Rappelons que le portefeuille de la Banque mondiale couvre à ce jour 19 projets, répartis sur plusieurs secteurs : l’éducation, la santé, protection sociale, agriculture, environnement, énergie, infrastructure et transport.
Pour sa part, la SFI (société financière internationale), branche du groupe de la Banque mondiale tournée vers le secteur privé, revendique des interventions à hauteur de 165 millions $.
